Excuses bidons
Non mais c'est pas ma faute, M'sieur... J'voulais écrire des billets de blog, M'sieur, mais j'devais préparer mes cours... Rhoooo, zyva, j'le f'rai plus, quoi, ça va, arrête de m'traiter maintenant!
Après avoir emprunté leur style d'excuse à mes étudiants, je vais aussi leur piquer leur sujet: le semestre prochain, je travaillerai sur City of Glass de Paul Auster, et j'en profiterai pour vous en donner quelques aperçus critiques - et comme ça, si mes élèves tombent sur ce blog, je saurai au moins ce qu'ils lisent sur internet!
Je vous parlerais bien de mes autres lectures, mais tout stagnent un peu en ce moment. Je viens de retrouver, sous des piles de livres divers, Le Tunnel que je n'ai toujours pas achevé et que j'avais cru perdu à jamais! Avec lui, Black box Beatles de Claro et Sans l'orang outan de Chevillard, que je vais essayé de terminer quand même à présent que je les ai sous la main pour en donner des comptes rendus! Et en cours, Le Canard sauvage d'Ibsen, Le Conte de l'or et du silence de Gustave Kahn, d'autres choses dont j'ai oublié le nom.
Pour vous faire patienter, un article du New York Times sur le parcours des livres d'occasion, "Their House to Yours, via the Trash". Comme son nom l'indique, on y apprend que la majorité des livres présents chez les libraires d'occasion y sont apportés par des clochards bien organisés qui fouillent les poubelles des beaux quartiers pour y ramasser des stocks de livres, aussi vite jetés que consommés, qui finissent par réapparaître sur les tables de salon des mêmes quartiers. Une histoire à la Paul Auster, justement. Un seul conseil me vient à l'esprit: quitte à acheter des déchets, autant les chercher soi-même dans les poubelles de voisins.
Après avoir emprunté leur style d'excuse à mes étudiants, je vais aussi leur piquer leur sujet: le semestre prochain, je travaillerai sur City of Glass de Paul Auster, et j'en profiterai pour vous en donner quelques aperçus critiques - et comme ça, si mes élèves tombent sur ce blog, je saurai au moins ce qu'ils lisent sur internet!
Je vous parlerais bien de mes autres lectures, mais tout stagnent un peu en ce moment. Je viens de retrouver, sous des piles de livres divers, Le Tunnel que je n'ai toujours pas achevé et que j'avais cru perdu à jamais! Avec lui, Black box Beatles de Claro et Sans l'orang outan de Chevillard, que je vais essayé de terminer quand même à présent que je les ai sous la main pour en donner des comptes rendus! Et en cours, Le Canard sauvage d'Ibsen, Le Conte de l'or et du silence de Gustave Kahn, d'autres choses dont j'ai oublié le nom.
Pour vous faire patienter, un article du New York Times sur le parcours des livres d'occasion, "Their House to Yours, via the Trash". Comme son nom l'indique, on y apprend que la majorité des livres présents chez les libraires d'occasion y sont apportés par des clochards bien organisés qui fouillent les poubelles des beaux quartiers pour y ramasser des stocks de livres, aussi vite jetés que consommés, qui finissent par réapparaître sur les tables de salon des mêmes quartiers. Une histoire à la Paul Auster, justement. Un seul conseil me vient à l'esprit: quitte à acheter des déchets, autant les chercher soi-même dans les poubelles de voisins.